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Parce que Gabi aime les gens, Gabi t'aime ♥

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Invité
Invité
Jeu 1 Jan - 2:21
Invité

Gabriel Young


Nom ▬ Young.
Prénom ▬ Gabriel. Gabi ou Gab pour les intimes.
Âge ▬ Tout juste dix huit ans.
Nationalité ▬ Anglaise.
Sexe ▬ ♂.

Sexualité ▬ Homo qui s'assume complètement.
Groupe ▬ Mhm... Sûrement humain bon.
Métier ▬ Dirige avec son grand-père une boutique de troque aux limites de la ville, du moins officiellement. Officieusement, ses plus grands clients sont les sauvages avec qui il fait de belles affaires.
Statut social ▬ Moyens. On vit avec les légumes des jardins chez les Young.

Particularités ▬ Très bon au judo. Collectionneur de choses inutiles. Bon feeling avec les animaux et les hybrides en général.


Caractère
Ton soupir fit voler les particules de poussières autour de toi. De la neige sale. Tu les voyais flotter, lentement, comme si le temps se suspendait, à travers le rayon de soleil venant de la fenêtre. Le magasin avait besoin d'un coup de propre, mais tu ne te décidais jamais à le faire. Tu étais lasse, mou ; il faisait trop chaud. Et puis au fond tu adorais le nid de poussières qu'était cet endroit. Tu l'aimais comme tel, vieux et désordonné, avec tout ses bibelots inutiles. En fait tu avais toujours eu un penchant pour les machins et les trucs abandonnés, simples, improbables. A trois ans, tu avais aimé le jeu de lumière de la casserole rouillée qui siégeait maintenant quelque part dans un placard. A six ans, tu avais trouvé des graines à faire pousser dans le jardin, avec les fraises et autres fruits rouges. A dix ans, tu étais le fier collectionneur de boutons de toutes formes, toutes couleurs. A seize ans, tu avais recueilli ce chat moche que personne ne voulait garder. Ton grand-père était toujours fier de tes trouvailles. Tout les deux, vous étiez contre l'aire de l'informatique, du numériques et de toutes ses conneries. Ça faisait mal aux yeux et ça donnait des cancers. D'ailleurs ton portable était un ancien modèle qui marchait à l'énergie solaire. Tu pouvais envoyer des messages et appeler – et tu avais aussi un jeu marrant avec des bulles – mais c'était tout ; et c'était très bien.

Pour t'amuser, tu préférais être avec quelqu'un. Oui Gabi, tu étais quelqu'un de sociable. Très sociable. Tu aimais les aventuriers, les artistes et les romantiques, surtout. Ils avaient toujours des histoires à raconter. Et toi, tu étais comme un gosse, il te fallait ton histoire pour éclairer ta journée. Ainsi, chaque personne qui se présentait au comptoir avait le droit à tes remarques sur tout et n'importe quoi, accompagné de ton sourire d'ange.
Tu souriais tout le temps en y pensant bien. Tu étais animé de ce sentiment de joie à n'importe quelle heure de la journée. Peut être est-ce parce que tu aimais la vie. Tu aimais ton grand-père. Tu aimais la beauté des antiquités qui t'entourais. Mais ton sourire avait de multiples variantes : il y avait celui du bonheur, celui de la politesse, celui de la compassion, celui de la taquinerie, celui de la séduction. Oh ne fais pas ton innocent Gabriel, tu étais attiré par le jeu de l'amour comme une abeille vers le miel. Tu jetais souvent des coups d’œil curieux aux garçons qui passaient la porte de ton antre pour troquer quelques affaires. Et quelques fois, la manche de ton haut tombait, comme par hasard... Tu voulais être désirable. Tu l'étais, tu en étais sûr. Tes cheveux en désordre, ton petit nez et tes tâches de rousseur te donnait un air paumé et fragile qui enchantait les autres. Pourtant tu rigolais bien de ceux qui pensaient que tu étais une proie facile, toi qui avais suivit pendant plus de dix ans des cours de judo. C'était ton cher grand-père qui une fois de plus t'avais guidé. Il t'avais répété cent fois que vous viviez dans un monde dangereux et que tu devais apprendre à te défendre. Par contre, tu n'avais pas le droit de faire mal aux autres. Mais toi tu étais un pacifiste. Tu n'aimais pas l'idée de torturer quelqu'un pour le plaisir de le torturer.

Et cette histoire d'hybride, au fond tu n'étais pas vraiment pour l'esclavage. Ta famille n'a jamais possédé d'hybride et tu ne comptais pas en acheter. Tu voulais boycotter le système pour leur montrer gentiment que tu n'étais pas d'accord avec le gouvernement actuel, bien que tu avais un profond respect envers sa majesté, en tant qu'anglais pur souche. En secret, cependant, tu menais la lutte pour leur libération à ta façon, en aidant les sauvages à se procurer certaines choses grâce au troc. Tu en étais content car ils t'apportaient beaucoup. Des fruits incroyablement bon. Des fourrures douces et de très bonne qualité. Des plantes, dont certaines médicinales que tu faisais infuser pour aider ton grand-père chéri à supporter la vieillesse. Ton petit commerce marchait bien. Et pour ceux qui découvraient le poteau rose, tu avais toujours tes atouts...

Physique
Gabriel, tu étais un ange. Comme eux, tu perturbais les gens autour de toi. Certains te trouvaient adorable, tu étais une sorte de petit frère ou un fils qu'ils aimeraient avoir. D'autres te trouvaient horriblement effronté avec tes manières familières. Et d'autres encore te trouvaient un je-ne-sais quel charme campagnard et rafraîchissant. Finalement tu ne laissais personne indifférent, qu'ils pensent de toi en bien ou en mal. Bien sûr, comme les anges tu avais ta beauté particulière. Parce qu'on ne pouvait pas dire que tu étais beau selon les critères de maintenant. Mon pauvre, tu n'avais pas un corps d’athlète, pas un poil sur le menton, tu étais de taille moyenne et plutôt maigre – faute à ton régime alimentaire spécial ; car tu étais végétarien par principe même si tu mangeais un peu de viande pour ne pas avoir de carences.

Cependant tu avais quelque chose que les autres beaux mecs n'avaient pas. Tu étais comme une biche avec de gros yeux larmoyants. Comme un petite bête qui venait juste de naître. Bref, Gabi, tu étais protégé par cette aura de fragilité et de douceur. Un peu comme une fille quoi. Sauf que tu n'étais pas une fille, n'est ce pas ? Oh non. Quelle belle illusion tu donnais aux autres ! En fait tu était plutôt musclé. Délicatement musclé. Mais comme tu étais fin, ça ne se remarquait que si on y regardait bien. Les gens autour de toi étaient toujours surpris de la façon dont tu portais facilement les charges lourdes et de la vitesse à laquelle tu courais. Et toi tu t’esclaffais devant leur bouche bée, avec ton sourire éternellement gravé sur tes lèvres. De toute façon tu avais toujours eu un visage qui affichait un air taquin, avec tes fines lèvres rieuses et ton nez en trompette. Ne parlons même pas de tes tâches de rousseur ! Tu en avais partout ; mais surtout sur le visage, les épaules et les fesses. Au moins, si une paire de petites fesses avec des points se baladait, on savait que c'était toi – un peu comme un signe distinctif. Il y avait autre chose de remarquable chez toi. Ce n'était pas tes magnifiques yeux bleus – car les tiens étaient d'un banal marron, malgré les cils clairs presque invisibles qui les ornaient. Non. Toi tu avais autre chose, quelque chose qui se remarquait de loin. Une touffe de cheveux roux indomptables, ondulés, sur la tête. Et attention ! Ce n'était pas un roux moche et terne. C'était un roux éclatant de vitalité et qui, au soleil, paraissait s'embraser. Autant dire que personne n'avait osé t'appeler « Poil de Carotte » à l'école. Cela aurait paru insensé de comparer une couleur aussi jolie à une vulgaire carotte – bon c'était peut être aussi parce que tu étais ami avec presque tout le monde.

Gabriel, tu avais été élevé à la campagne. Et tu avais une tête de campagnard paumé dans la grande ville, c'était flagrant. De plus tu aimais porter ce vieux chapeau de paille, comme si tu voulais fièrement montrer tes origines au reste du monde. Oh oui, en été tu ne le quittais presque jamais. En  hiver, par contre, tu le laissais sagement attendre son heure sur ta commode. Sinon tu aimais porter d'autres babioles sur toi. Tu aimais les babioles. On ne compte plus les bracelets de fils, les colliers de coquillages et les lunettes à la John Lennon dans tes tiroirs. Et comme tu défendais la nature, tu insistais pour porter le plus de vêtements fait naturellement que possible – et bien sûr locaux, non pas cousus par des pauvres enfants indiens. Tu ne prêtais pas grande attention à la mode. Pour être plus précis, tu t'en fichais complètement des diktats qu'imposait la société. Tu préférais être habillé avec tes sandales, tes chemises de cotons, tes gros pulls en laine oranges et tes salopettes délavées qui avaient appartenu à feu ton père.


Histoire
A peine étais-tu né que tu avais déjà une vie incroyablement bien remplie pour un bébé. Tes premiers jours sur cette terre furent mouvementés, mais tu ne t'en rappelais pas. En fait tu n'étais pas désiré par tes parents. Si les personnes autour de toi avaient été cruelles, on aurait pu dire que tu étais un erreur ; ce qui au fond était vrai. On ne sut jamais vraiment ce qui c'était passé le jour de ta conception, car c'était un secret que partageais ton père et ta mère. Dans tout les cas, ce fut une nuit magique, pour les deux amants comme pour toi. Ce qui fut moins magique fut le jour où ta mère éclata en sanglot en apprenant que tu reposais là, dans son petit ventre de jeune femme. Elle avait peur de l'avortement. Du peu qu'il l'a connaissait, ton grand-père t'avais dit que c'était une demoiselle plutôt craintive, malgré son entêtement et ses crises de colère. Alors elle décida d'accoucher. De te donner vie. De te donner une chance. Finalement tu lui en étais reconnaissant. Cependant après les pleurs, ta mère mit tout ses doutes et sa peur dans la colère ; colère qui fut dirigée vers ton pauvre père. Elle ne voulait plus le voir, alors elle ne le vit plus. Elle partit de sa vie sans plus de mots et disparu avec toi, alors qu'elle était au début de sa grossesse. Personne ne put te conter ce qui se passa pendant près de six mois.

Tu compris par contre que du côté de ton père, c'était l'inquiétude qui dominait. Il avait peur pour la jeune fille qu'il avait mit enceinte et pour son enfant, son propre enfant. Ton grand-père t'avais dit  avec nostalgie, une fois, que ton père regardait tous les jours son portable dans l'espoir d'avoir des nouvelles. Lui-même se demandait quelle vie tu aurais si tu restais avec une mère qui ne voulait pas de toi à la base et qui vivait seule. C'était dur d'être mère célibataire. Peut être avait-elle trouvé un autre père pour toi... Mais c'était injuste de te priver de tes origines.
Heureusement, elle réapparu. Mais pas seule, oh non. Tu étais dans ses bras, tout petit, tout fragile. Tu étais né il n'y avait même pas une semaine. Elle te portait un peu rudement, n'ayant manifestement pas l'habitude des enfants, puis elle déclara qu'elle ne voulait pas de toi. Qu'elle t'avait mis au monde et que c'était déjà beaucoup. Ton père se retrouva donc avec toi. Il en était soulagé bien sûr, de voir ton sourire de bébé, tes petites mains et puis surtout que tu allais bien. C'est à ce moment là qu'il déménagea chez ton grand-père pour avoir du soutien. Bien avant ta naissance, ta grand-mère vous avez quittée, morte plutôt jeune d'un arrêt cardiaque. Tu aurais bien voulu la connaître car ton grand-père en parlait tout le temps avec amour et puis au fond, à force de l'entendre parler d'elle, tu l'aimais bien toi aussi.

Ainsi vous viviez à trois dans une routine banale mais agréable. Tu étais devenu le petit ange de la maison et les clients de la boutique aimaient te voir courir entre les rayons désordonnés. Tu amenais de la joie partout où tu passais... Mais tu ne te rappelais pas de ces instants de bonheur, pas plus que tu ne te rappelais de ton père. La mort l'avait frappée d'un coup, vicieuse comme elle était, alors que tu n'avais que trois ans. C'était la pneumonie. Il avait finit ses jours dans un lit blanc, puis mourut en un clin d’œil. Personne ne s'aperçut du mal qui lui rongeait les poumons. Ses proches avaient bien remarqué des fièvre un peu trop courantes et des toux qui devenaient violentes par moment. Mais c'était tout. Comme ton père été un homme qui n'aimait pas se plaindre, il n'avait jamais consulté de docteur... Jusqu'à ce que la fin soit proche.

Alors te voilà maintenant, du haut de tes dix huit ans, orphelin et sans souvenir de tes parents. Tu te disais quelques fois que dans une autre vie, tes parents s'aimaient tellement qu'ils n'avaient jamais osé se séparer. Qu'ils t'avaient élevé ensemble. Que ton père avait remarqué sa maladie et l'avait soigné. Et que maintenant tu vivais la routine d'une vie avec tes parents et un petit frère. C'était ton fantasme. Peut être qu'un autre Gabriel, quelque part dans une autre dimension, vivait comme ça. Ensuite tu pensais à ce qu'étais devenu ta mère. Etait-elle encore en vie ? Vivait-elle avec un autre homme ? Avait-elle eu d'autres enfants ? Regrettait-elle de t'avoir abandonné ? Ou au contraire, en était-elle heureuse ? Questions sordides. Tu ne voulais pas d'intéresser à une femme qui t'avait laissé. C'était comme une trahison. Tu la détestais de t'avoir fait ça ; et pas seulement à toi, à ton père aussi. Mais d'un autre côté tu voulais tellement qu'elle soit là pour te voir et être fière de ce que tu étais devenu. Et tu désirais tellement ses câlins et ses mots doux. Qu'elle chuchote à ton oreille « Gabi » en te berçant dans ses doux bras et contre ses seins qui devaient être confortables. Tu aimais te bercer de douces illusions.
A l'école, on t'avait souvent demandé où était ton papa et ta maman. Tu n'aimais pas du tout cette question. Elle te faisait frissonner et tu la redoutais plus que tout. En plus, tu avais horreur des regard de pitié quand tu avouais que tu n'en avais pas. Tu aimais encore moins qu'on te demande ce qu'il c'était passé ou encore ce que tu savais sur ta mère. Gabriel, tu révélais ton côté sombre quand quelqu'un osait parler de ce sujet tabou. La seule personne qui pouvait l'aborder était ton grand-père, seul témoin de ta vie.

Finalement tu l'aimais de tout ton cœur, ton grand-père adoré. C'était une de tes raisons de vivre, une de tes raisons de sourire. Tout ça, c'était pour lui car il t'avait élevé malgré son âge, malgré qu'il soit seul et triste de la mort de sa femme et de son fils. Mais tu lui rendais bien ces années de services maintenant. Tu lui donnais le réconfort dont il avait toujours eu besoin. En plus tu adorais t'occuper de la vieille boutique de troc, de ce petit bazar paradisiaque. De toute façon tu n'avais que ça à faire. Enfin, c'était agréable de se reposer près de la campagne, au calme ; bien que tu cours certains risques une fois la nuit tomber. Mais ça valait le coup d'être un hors-la-loi et t'aider les hybrides sauvages comme tu le pouvais en les hébergeant quelque fois, leur troquant un peu de nourriture, voir même des armes. Après tout, tu ne vivais pas vraiment avec eux. Tu ne les voyais que dans la rue ou dans ta boutique.

Tu aurais voulu une famille, Gabi, c'est vrai... Mais tu avais déjà beaucoup et tu remerciais les dieux de t'avoir accordé tant de bonheur dans ta petite vie.


Pseudo ▬ on va dire Gabi.
Âge ▬ 17 ans.
Comment es-tu arrivé ici ? ▬ Koro mon canard en plastique vibrant préféré 8D.
Autre chose à dire ? ▬ Je viens casser la baraque, yeah.
CodeOk by fonda

© Code by KoroJuùrii
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Invité
Invité
Jeu 1 Jan - 13:07
Invité
Bienvenue officiellement ici mon chouchou~ ♥ Hâte de voir ton histoire *w*
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Invité
Invité
Jeu 1 Jan - 20:57
Invité
Oh mon petit canard que j'utilise tout les soirs ♥ (rime o/)
J'ai tout bouclé, aller valide moi qu'on puisse baiser rp c:
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Invité
Invité
Jeu 1 Jan - 22:01
Invité
Tu es validé(e) !


*fouette* Non mais oh, un s'il te plait ne t'aurais pas arracher le trou fion ! èwé *sort* Je te valiiiiide. ♥
~~~~~~
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