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I wanna feel the rain in my hair [PV Velvet]

Thora
Thora
Hybride Neutre
Race : Anguille électrique
Féminin
Messages : 14
Date d'inscription : 27/04/2017
Age : 31
Sam 1 Juil - 18:22
Thora
La boutique n’était pas encore ouverte et pourtant une hybride aux cheveux rouges était en mouvement, l’hybride doté de deux oreilles bien fournis à côté aussi. Ils complotaient quelques chose, une fuite, Thora savait qu’il était aisé de crocheter la serrure de sa cage. Cela faisait plusieurs jours qu’elle s’organisait, elle et le renard à coté d’elle. Cette nuit là, le renard lui passa quelque chose, discrètement, un objet fin et pointu, c’était ce qu’il lui manquait. Thora commença à s’attaquer à sa serrure. Le plan était qu’elle se libère et libère les autres, et elle était la meilleure dans ce domaine.
Le temps manquait, les lumières s’allumèrent d’un coup et un homme entra. Trop tard, c’était le signal de l’ouverture. Thora n’avait put que cacher vite fait le crochet de fortune. Elle prit rapidement la nourriture qui fut distribuée avant de se dire que de se montrer sous son plus mauvais jour réduiraient fortement ses chances d’être acheté et de mener son plan à bien la nuit prochaine. Elle se détacha les cheveux et les ébouriffa le plus possible et de se montrer plus désagréable qu’à l’ordinaire envers les clients.

Une heure plus tard, c’était l’heure de l’aller et venu incessante, du bruit omniprésent. C’était devenu un quotidien de toute façon, personne ne se souciait d’un hybride en cage, ils ‘étaient enfermé, que pouvaient-ils faire ? Les heures défilaient, Thora avait déjà envoyé baladé un couple à la recherche d’une perle rare. Tout fonctionnait comme sur des roulettes… pour le moment.
Le deuxième volontaire était un jeune homme qui sourit, le sourire de quelqu’un qui se réjouissait d’avoir trouvé le parfait cadeau empoissonné. Il partit de son champs de vison pas longtemps après. Thora le suivait du regard, non, elle faisait tout pour ne pas être vue, elle pouvait intéresser personne, au milieu de tout ceux qui faisait tout pour se faire repérer, elle faisait grise mine.  Il revint pas longtemps après :

« Hors de ma vue. »

Thora lui parla d’un ton sec. Parfois ça suffisait à décourager la personne. Cependant l’échange ne se passa pas comme prévu, malgré les efforts de l’hybride, il ne partit pas, au contraire, ça avait presque l’air de le réjouir. Elle était encore loin de comprendre les humains, celui-là réagissait vraiment pas comme d’habitude. Il se détourna d’elle quelque secondes.
Vue la tournure des événements, elle lança un regard à l’hybride renard, qui lui répondit d’un air compréhensif, et elle lui donna le crochet, le plus discrètement possible. Si tout allait bien, il pouvait toujours lui redonner.

Le jeune homme revint encore une fois, accompagné cette fois par le vendeur.

« Aller c’est l’heure de sortir. »

« Qu’est ce qu’il fait moche aujourd’hui, ça me donne vraiment pas envie de sortir d’ici. Va falloir être plus convaincant. »

Et elle s’assit en tailleur au milieu de sa cache. Je sais que tu peux rien me faire là, au milieu des clients, maîtrise de soi, ça te fait un bon entrainement. C’est ce qu’elle se disait derrière son petit sourire d’innocente jeune fille.
Elle se tourna vers le jeune homme.

« Maman m’a toujours dit de pas parler aux inconnus. »

La tête que faisait le vendeur était magnifique aux yeux de l’hybride. Elle adorait quand elle arrivait à ce que son interlocuteur soit à deux doigts de péter un câble … alors qu’il ne pouvait rien faire. Elle consent peut après à sortir, dans un soupire forcé qui signifiait qu’elle voulait bien faire plaisir mais que l’effort pour se levé était immense.  
On lui présenta son acheteur, tiens enchanté Stanley puis ce fut son heure de quitter le magasin. Le tout se passa assez vite, et malgré ses espérances. Dans sa tête, elle souhaita bonne chance à ceux qu’elle laissa derrière elle. Elle n’était pas la seule à savoir crocheter, juste la meilleure, mais elle doutait que le plan aboutisse. Elle suivit l’acheteur avec sa tête des mauvais jours. Elle se recoiffa une fois qu’elle fut dans une voiture et pensa à comment s’enfuir cette fois.

Le prénommé Stanley lui expliqua la situation, oui effectivement, elle était un cadeau, donc elle ne connaissait pas encore celui ou celle qui sera son maître, même si ce mot lui fit grincer des dents.
La première chose que remarqua Thora dans la grande maison fut la table prête pour un repas, une longue table. Une fête ? Elle repensa à la fois où elle avait bien voulu rendre service lors d’une soirée qu’avait organisé son ancien maître. Elle avait renversé le contenu d’une pinte de bière sur le premier invité qui lui avait manqué de respect. Elle s’était barré ensuite pour ne revenir que plus tard, ah, elle s’était fait bien incendier aussi ce jour-là. On la fit patienter dans une pièce d’à côté. Elle regarda autour d’elle en se disant qu’elle pouvait se faire plaisir mais se ravisa. On va pas tout de suite faire disparaître magiquement des objets, elle ne savait même pas encore à quoi ressemblait son nouveau maître. Elle attendit simplement qu’on la fasse entrée, oh elle soignera surement cette entrée, comme elle savait le faire.
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Velvet Wellington
Velvet Wellington
Humain Mauvais
Race : Humaine
Féminin
Messages : 145
Date d'inscription : 14/09/2016
Sam 1 Juil - 21:30
Velvet Wellington
WELLINGTON Velvet & Thora
Un de ces jours ils mourront tous.

Encore une réunion de famille chez Stanley. Je n'aime pas y aller, surtout quand j'ai du boulot sur le feu, mais il faut bien. Qui va me financer si je ne garde pas contact avec ma mère et mon oncle ? Heureusement, cette fois, il n'y a ni oncles ni tantes ni myriade de cousins. Seulement ma mère, mon beau père, mon frère Stanley, sa femme Rose et leur fils. Apparemment, ils auraient quelque chose d'important à m'annoncer. J’espère que c'est effectivement important et pas encore une connerie, pour que je doive mettre mes affaires de côté afin d'aller les voir.

J'arrive un peu en retard, l'air renfrogné, dans la salle à manger de mon frère. Tout le monde m'attend, monsieur Stanley se permet de m’adresser un regard noir que je rends avec plaisir, et bien entendu, son marmot est déjà en train de gueuler. Je me mets les mains sur les oreilles et lance un regard appuyé à Rose, qui veut dire quelque chose comme « tu as intérêt à le faire taire ». La pauvre fait de son mieux pour le bercer sur ses genoux, et elle me rend un regard blasé en retour. Comme d'habitude chez les Wellington, c'est le boxon.

Je m'installe à ma place habituelle, c'est-à-dire au bout de la longue table, même si toute ma famille s'est assise de l'autre côté. Avec tout cela, ils doivent commencer à comprendre que je n'ai pas envie d'être ici aujourd'hui, que je ne suis pas là pour les voir, que j'ai du travail à faire, et que s'ils ont quelque chose à me dire, ils doivent faire ça vite. On m'adresse de grands sourires et on m'invite à m'asseoir un peu plus près des autres. Je soupire et le fais. Ce n'est peut-être pas une bonne idée de trop montrer ma mauvaise humeur.

« Vous vouliez m'annoncer quoi ? Je peux pas rester très longtemps, j'ai du travail », demandes-je, l'air blasé habituel sur mon visage. Ma mère sourit à mon frère et lui adresse un mouvement de tête, sans doute pour l'inviter à s'exprimer à sa place. Stanley lui rend son sourire, puis se décide enfin à prendre la parole pour m'expliquer ce que je fais ici.

« Maman s'inquiète beaucoup pour toi en ce moment, car elle sait que tu ne fais rien d'autre que travailler et jouer dans ta chambre. Nous sommes d'accord, elle et moi. Ce n'est pas un mode de vie très sain que tu as là, Velvet. On s'est dit qu'un peu de compagnie te ferait du bien. »

Je hausse un sourcil. J’espère bien que ce n'est pas eux, la compagnie dont ils parlent, car s'ils m'ont invitée à manger simplement pour me faire sortir, cela va mal aller. Heureusement, je n'ai pas l'impression que cela soit ça. Vu le sourire mauvais de Stanley, ce n'est sûrement pas le cas. Qu'est-ce qu'il a encore réussi à inventer pour me rendre la vie impossible, cette petite saloperie ? J'ai parfois l'impression qu'il serait prêt à tout, même à mettre sa propre vie de côté pour pouvoir me gâcher la mienne. Mais je suis sans doute égocentrique.

« Et donc », reprend Stanley, « maman a proposé qu'on t'achète un hybride pour t'aider à te sociabiliser. » Mes yeux s'écarquillent. « Elle m'a laissé le choisir, et je l'ai fait avec soin. Je pense que j'ai pris l'esclave parfait pour t'aider. Tu es prête à le voir ? Je vais le...

- Ah non, ça par contre non, ça va pas être possible », réponds-je sur le qui-vive. Mon cerveau a eu beau buguer pendant une seconde au début de sa phrase, mes neurones ont vite repris leurs droits. « En plus c'est quoi cette idée ridicule ? J'ai déjà Grace et je ne vois pas en quoi elle me fait sortir de ma chambre. Si j'y reste c'est peut-être parce que j'ai envie.

- Grace est quelqu'un de plutôt calme, de ce que j'ai vu », me répond ma mère. « Ce n'est pas elle qui va te bousculer un peu. Je pense que cela te ferait beaucoup de bien d'en avoir un autre, un qui puisse t'aider à sortir un peu de ta zone de confort. Et c'est pour cela que...

Bon sang, je vais avoir trente ans ! Trente ! Vous croyez que c'est encore votre rôle de faire en sorte que je me sociabilise ? Et vous m'achetez une hybride comme ça, sans mon aval ? Est-ce que je vous achète des petits chiens sans vous consulter, moi ?

- Je ne vois pas trop le rapport. Un hybride demande beaucoup moins de responsabilités, il s'entretient tout seul, c'est juste un domestique. Tu auras seulement quelqu'un de plus pour te servir et t'aider à sortir de ta bulle », répond ma mère. Je serre un peu les dents. Mon dieu, je vais les tuer. Je vais vraiment les tuer.

- Mais je suis bien, seule dans ma chambre ! J'ai pas besoin qu'on me sorte de ma soi-disant bulle ! J'en ai assez que vous vous impliquiez dans ma vie comme un foutu cancer. Je vais devoir attendre quoi, pour que vous cessiez, votre mort ? J'habite dans ma propre maison, je gagne mon propre salaire, ça fait un moment que j'ai ma propre vie, et toi maman, tu continues de vouloir contrôler ce que je fais ? Je n'ai plus seize ans espèce de gangrène, si je veux rester dans ma chambre à boire du whisky et à m'enfiler des paquets de chips c'est mon sou... mais ta gueule ! » Hurles-je très longuement en appuyant sur le dernier mot, ce à l'intention du gamin de Stanley. Bien entendu, il ne parle pas encore, alors son réflexe est de crier plus fort. Rose m'envoie un regard noir.

Ma mère, elle, soupire très longuement. Depuis le temps, elle est habituée à ce que je hurle quand elle tente de s'immiscer dans ma vie ou de la contrôler. Elle sait très bien qu'elle a le pouvoir sur moi, dans le fond. Elle doit considérer cet appel désespéré pour un peu d'air comme une crise d'adolescence, comme elle l'a toujours fait. Même si j'ai bientôt la trentaine. Je me demande ce qui les pousse à toujours me traiter comme une sorte d'ado qu'il faut mater. Est-ce que cela va durer toute ma vie ? Est-ce que quand j'aurai quarante, cinquante ans, j'aurai toujours ma vieille mère castratrice et mon frère psychopathe sur le dos, à décider de ce que je fais et à m'acheter des hybrides comme si j'étais encore chez eux ?

« De toute façon Velvet, si tu ne prends pas cette hybride, je te coupe l'accès au compte familial. C'est pour ton bien », me dit ma mère. Évidemment, c'est la menace habituelle. J'ai beau bosser d'arrache-pied pour gagner une indépendance totale, c'est toujours ma famille multimillionnaire qui finance une partie de mes dépenses et de mon journal, et si je n'y ai plus droit, je perdrai un avantage considérable sur beaucoup d'aspects. Je soupire très longuement et pose mon menton sur le dos de mes mains. Espérons que Stanley ne l'ait pas expressément choisie pour m'ennuyer. Mais qu'est-ce que je pense ? Évidemment qu'il l'a fait, il ne se soucie pas de mon bien-être cette petite enflure, il ne pense qu'à me rendre la vie impossible même si je tente de couper les ponts par tous les moyens.

« Je vais la chercher. Tu n'es pas très gentille Velvet, elle a pu tout entendre depuis sa petite salle », me fait cette enflure de Stanley. Mon regard est de plus en plus noir pendant qu'il ouvre la porte. « Allez, tu peux entrer et ne fais pas attention à la capricieuse défigurée qui hurle. D'accord, c'est ta future maîtresse, mais elle ne mord pas. Tu peux aller t'asseoir à côté d'elle. Et sois gentille d'accord ? » Lui adresse-t-il. J'attends qu'elle entre, les bras croisés et l'air renfrogné. Bon sang, faites qu'il n'ait pas choisi la rebelle du magasin.

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Thora
Thora
Hybride Neutre
Race : Anguille électrique
Féminin
Messages : 14
Date d'inscription : 27/04/2017
Age : 31
Dim 2 Juil - 18:39
Thora

De sa petite pièce, Thora pouvait entendre du mouvement, mais rien de vraiment intéressant, pour le moment. Elle observait ce qui l'entourait. Conclusion, ce n'était pas une famille modeste, de classe moyenne sans histoires. Non, la c'était une famille plutôt riche, bon point ou pas, rien n'était moins sûr.
De l'autre côté, les voix commençaient à percer, celle de la femme qu'elle avait aperçut, une qu'elle ne connaissait pas et celle de Stanley. Et elle pouvait entendre toute la conversation sans aucuns efforts et aussi les pleurs d'un bébé. Thora était loin d'être comportementaliste mais il était clair que ça virait en engueulade, à cause d'elle sans qu'elle ait rien demander à personne. Avec un peu de chances, peut-être allait-elle retourner dans le magasin et reprendre ses complots.
Plusieurs chose retinrent son attention. Premièrement, la fille qui allait lui servir de maîtresse était quelqu'un qui ne sortait pas beaucoup qui n'avait pas l'air d'être en bons termes avec sa famille. Autre point important, elle avait déjà une hybride, du nom de Grace. Ce nom lui disait rien, il y avait peu de chance que ce soit le cas mais elle aurait put l'avoir déjà rencontrée, qui sait?

La porte qui la séparait du reste de la maisonnée s'ouvrit, elle retourna dans le moment présent et sortie de ses pensées.

« Allez, tu peux entrer et ne fais pas attention à la capricieuse défigurée qui hurle. D'accord, c'est ta future maîtresse, mais elle ne mord pas. Tu peux aller t'asseoir à côté d'elle. Et sois gentille d'accord ? »

Elle jeta un oeil à l'assemblé derrière lui et avança. elle mit pas vraiment longtemps avant de savoir qui était "la capricieuse défigurée qui hurle" et de voir son air ravis. Thora, quand à elle, ne laissa rien paraître, pas même un sourire. Elle se contenta d'observer sa nouvelle maîtresse tout en essayant de savoir quelle genre de personne c'était. Bon, tout de suite, ça ne donnait pas grand chose. Elle se contenta d'un bonjour sans vraiment beaucoup d'entrain, non elle n'avait pas envie d'être gentille, surtout si elle était la seule à faire des efforts.
Elle s'asseya à côté d'elle, de toute façon, il n'y avait pas d'autre place donc c'était pas comme si elle avait le choix. Elle préféra attendre que ce soit cette maîtresse aigri qui fasse le premier pas. De toute façon, l'une comme l'autre n'avait pas choisi d'être dans cette situation.
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